Cécile Pierre

Cécile Pierre

Responsable des ressources électroniques à la BU

Articles par Cécile Pierre

Test Oxford University Press Social Science

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Découvrez jusqu’à la fin mai, la collection Social Science Journals d’Oxford University Press.

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Oxford Journals Social Science

 

 

 

 

 

 

 

 

 

61 titres en économie et science politique sont en test pour l’Université Nice Sophia Antipolis (voir le détail des titres).

Cette collection vous intéresse ? Faites nous le savoir en remplissant ce court questionnaire

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En mars, une giboulée de tests !!!!

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Santé et paramédical

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Découvrez plusieurs produits électroniques édités par Masson :
– La plateforme E-ECN (l’interface demande de créer un compte à partir d’un poste connecté sur le réseau de l’université)
– Plusieurs collections d’ebooks sur l’interface E-Library (collection Gold-ECN, Gray’s Anatomie et les mémofiches anatomie Netter)
– Revues paramédicales et EMC soins infirmiers  d’EM Premium (liste des revues spécialisées)
Le test est ouvert jusqu’au 31 mars. Votre avis nous intéresse, faites-nous un retour en remplissant notre questionnaire en ligne.

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Littérature

Vous recherchez des éléments sur un écrivain, un mouvement littéraire ou une période ? La Bibliographie de la Littérature française recense les études et articles sur la littérature française et francophone du XVIe siècle à nos jours, publiés depuis 1998 en France et à l’étranger. Plus de 150 000 notices détaillées sont disponibles, dont plus de 17 000 comptes rendus, et 72 000 articles issus du dépouillement des ouvrages collectifs.
La base s’enrichit quotidiennement, et une mise à disposition des années antérieures (1997-1979 et 1948-1894) est à l’étude.
Nous vous proposons de tester la BLF sur le site des Classiques Garnier du 2 au 31 mars. Et n’oubliez pas ensuite de nous donner votre avis en remplissant cette mini-enquête !

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Licences nationales à gogo

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Dans le cadre du projet d’investissement d’avenir Istex, quatre nouveaux corpus acquis en licence nationale sont disponibles pour la communauté scientifique de l’UNS.

 

wiley Près de 2 200 titres de revues scientifiques de l’éditeur Wiley, de 1791 à 2011. Ces périodiques couvrent des disciplines diverses dont l’écologie, les mathématiques,la chimie, la physique et les sciences de la santé. Accéder au texte intégral
Liste des titres
bmj2 Accès à 64 titres médicaux, parus depuis le début des publications jusqu’à 2013 inclus. Accéder au texte intégral des revues BMJ
Liste des titres
degruyter Un peu plus de 500 titres De gruyter couvrant la période de 1826 à 2012. Ces archives de revues relèvent de domaines de recherche variés, incluant notamment des ressources en sciences humaines et sociales. Accéder au texte intégral
Liste des titres
sage Plus de 600 revues Sage couvrant l’ensemble des disciplines de recherche (STM et  SHS), jusqu’en 2009. Accéder au texte intégral
Liste des titres

 Ils rejoignent les douze autres corpus déjà ouverts.

Bonnes explorations !

 

2015, ça bouge dans les ressources en ligne…

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Image : Rosino, CC BY-SA 2.0

Image : Rosino, CC BY-SA 2.0

Comme à chaque début d’année, un petit point sur les modifications d’abonnements.

Les bonnes nouvelles d’abord :

Deux nouveaux bouquets Jstor sont ouverts à la consultation :

– Jstor Arts & Sciences V, axé principalement sur l’histoire, les arts, la philosophie et la littérature (plus de détails sur la collection)
Jstor 19th century british pamphlets, qui contient plus de 26000 pamphlets britanniques (plus de détails sur la collection)

Le périmètre de notre abonnement à Diane s’étend dans le cadre de la négociation Couperin : accès à l’ensemble de la base (et non pas aux entreprises les plus importantes comme précédemment).
L’accès distant sera disponible dans les prochains jours, et il n’y a plus de restriction en nombre d’utilisateurs simultanés. Bien évidemment, cette base, comme toutes les ressources,  est soumise à une licence et son usage doit se faire dans un cadre strict d’enseignement et de recherche. Les éditeurs de droit et d’économie sont particulièrement attentifs.

Nous avons changé de fournisseur pour PsycInfo, PsycArticles. Ils sont désormais accessibles par Proquest, avec une interface plus simple et intuitive.
N’hésitez pas à Interroger un bibliothécaire si vous éprouvez des difficultés ou avez des questions sur cette nouvelle interface.
Une nouvelle base complète l’offre en psychologie : Proquest psychology journals (texte intégral de revues et de thèses)

psycinfo1   psycinfo2

Les moins bonnes ensuite :

L’augmentation moyenne constatée pour la documentation électronique se situe autour de 4%, et est accentuée par la hausse du dollar.
Les bibliothèques ont donc dû supprimer certains produits moins consultés pour maintenir le reste de l’offre. Il s’agit de :

Comprehensive Physiology (pour les mises à jour, l’antériorité restant accessible)
Francis (la base n’est plus maintenue par le CNRS, et doit devenir gratuite d’ici la fin de l’année)
Socindex (accessible sur BiblioSHS pour les unités CNRS)
ASFA : Aquatic Sciences Fisheries Abstracts

Conf+ CFI sera accessible jusqu’à la fin de l’année universitaire 2014-2015 (fin juin).

et les périodiques électroniques :

Biochemical journal
Journal of biochemistry
Journal of biological chemistry
Journal of neurophysiology
Journal of Trauma and Acute Care Surgery
Spine

Bien sûr, toutes nos autres ressources sont toujours accessibles par le portail des BU.
Les bibliothèques sont à votre disposition pour vous procurer les documents qui ne font pas partie de nos collections par le service du Prêt entre bibliothèques.
Bonne année et belles découvertes documentaires

 

 

DfR : l’autre interface Jstor

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A côté de son interface standard, Jstor offre aux chercheurs l’interface Data for Research. Encore en version beta, cette interface propose des fonctionnalités d’exploitation avancées de la base Jstor.

Intérêts de cette interface :

  • Décharger en une fois un nombre important de données (limité à 1000 maximum) sans avoir à les sélectionner page par page. Il s’agit cependant uniquement des références bibliographiques et résumés (pas de texte intégral)
  • Visualiser graphiquement la répartition chronologique d’un corpus (date) et les mots-clés (nuage de mots)
  • Bénéficier de fonctionnalités d’analyse linguistique sur les documents (extraction automatique de mots-clés, fréquence de mots isolés, digrammes, trigrammes…)

Quelques exemples d’exploitation : travailler sur l’évolution d’une discipline, sur l’usage d’un concept dans une discipline, récupérer l’ensemble des articles parus dans une revue, en afficher la distribution chronologique et thématique…

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Fonctionnement de la recherche

La sélection se fait par restrictions successives. Par défaut l’ensemble des documents Jstor est sélectionné, et l’on peut ensuite rechercher des termes et/ou restreindre par les facettes proposées en colonne de gauche.

– Recherche : l’interface propose un champ de recherche unique, avec éventuellement une limitation sur les champs à interroger (titre, auteur, résumé, légende, mot-clé, citations).
Il est possible d’affiner sa recherche en construisant des équations, à l’aide d’opérateurs booléens et des codes de champs, visibles dans les URL, par exemple :

Recherche d’articles ayant le mot « Afrique » dans titre ou résumé : ((ta:afrique) OR (ab:afrique))
Récupération des articles de la revue Etudes rurales en se limitant au type « article » : (jcode:etudesrurales) AND (ty:fla)

– Facettes :

La facette Date affiche un graphique de distribution chronologique. La facette Key terms présente un nuage de mots. Les listes ou graphiques pour chaque facette sont exportables

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Comment récupérer le corpus de données ?

Il faut créer un compte et s’identifier (Log in/register).
Le corpus doit être inférieur à 1000 documents, sinon une sélection aléatoire sera faite lors de l’export. Il est possible de contacter Jstor pour lever cette limite. Il faut alors expliciter en détail son projet, comme le demandent aussi d’autres éditeurs pour la fouille de données. Toutefois, cette exigence peut sembler problématique (voir la question des données du data mining dans ce billet de Sciences Communes…).

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Une fois sa sélection faite, cliquer sur Datasets request, puis Submit new request.
Une fenêtre s’ouvre et vous indique le statut du traitement. Lorsque le résultat est prêt, un mail est envoyé à l’adresse de messagerie paramétrée. Aller sur « List prior requests » pour récupérer les résultats au format zip (full dataset) et un rappel des critères de recherche (summary file)

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En cas de problème, l’assistance mail Jstor s’avère très réactive et efficace.

L’exploitation des résultats

L’ensemble des références bibliographiques est récupéré dans un fichier unique.
On peut par exemple importer ces données dans Excel (fonctionne bien pour l’export csv en choisissant le codage UTF8)
Pour les analyses linguistiques, on obtient un fichier par référence ; le liens avec les références se fait par l’identifiant du document.
On peut ensuite utiliser un outil d’analyse de texte (exemples trouvés – non testés – : JstorR, Paper Machines, Mallet…)
Pour les usages autorisés et la ré-exposition des données, voir les Terms and conditions (en particulier, l’incorporation dans des bases de données accessibles doit se faire avec l’accord de l’éditeur)

Quelques limites de DfR

  • Contenu de la base JSTOR. Une grande partie des revues sont accessibles uniquement jusqu’à une certaine date ou après une période d’embargo de plusieurs années. Jstor est donc plus adapté à des recherches portant sur une vaste période chronologique ou l’antériorité, et pas sur les années récentes
  • Complétude des données : les résumés par exemple ne sont pas nécessairement présents, surtout avant les années 70. La restriction d’une recherche sur ce critère présente donc un biais.
  • La sélection « en entonnoir » est parfois frustrante ; si l’on n’utilise pas d’équation de recherche avancée, impossible par exemple de sélectionner plus d’une revue ou d’une discipline à la fois dans les facettes
  • La restriction à 1000 documents s‘avère à l’usage assez contraignante
  • Les mots clés ne sont pas toujours très pertinents dans les langues autres que l’anglais
  • La recherche porte sur le texte intégral du document, ce qui génère parfois du bruit dans les recherches.

Malgré tout cet outil simple à prendre en main me semble ouvrir de nombreuses possibilités.

Nouvelles formes de communication et d’évaluation scientifique (2/2)

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Vous vouliez en savoir plus sur la journée nationale des URFIST du 25 septembre ? Voici la suite !

La présentation par Rodrigo Costas -Comesaña de ses travaux sur Altmetrics  a permis de faire un point sur la définition des altmetrics, les outils concernés (plateformes sociales comme Mendeley, ResearchGate, outils grand public comme Twitter, Facebook), les données disponibles, les biais, et ce que l’on peut en attendre.

Le travail sur ces données présente de nombreux problèmes (corrélation entre les sources ou manque de cohérence au sein du même outil, difficulté de manipulation, manque de normalisation…). On note dans les résultats une sous-représentation de certaines disciplines plus complexes, ou si les titres d’article sont trop longs (twitter et facebook). L’intérêt semble donc plus de mesurer la réception et la vision sociale de la science par le profane que d’en tirer une évaluation des travaux.

Source : Wikimedia, Photo by CEphoto, Uwe Aranas / CC-BY-SA-3.0

Source : Wikimedia, Photo by CEphoto, Uwe Aranas / CC-BY-SA-3.0

Le sociologue des sciences Yves Gingras a remis en perspective historique ces évolutions. La situation actuelle résulte à la fois de l’arrivée d’Internet, qui a changé l’unité (de la revue à l’article), de la financiarisation de l’économie de l’édition, et de l’avènement d’un nouveau management public au sein des universités (centré sur l’évaluation). L’utilisation des indicateurs pour l’évaluation dépend de la fonction de l’institution. Il faut s’interroger sur les outils disponibles et leurs limites pour l’objectif visé (l’indice H est mal conçu ; Scopus et Wos, quoique incomplets, restent mieux contrôlés, que d’autres).

Les données de la recherche sont un autre sujet d’actualité. Le directeur exécutif de Codata (Committee on Data for Science and Technology- ICSU) a présenté les initiatives en cours pour promouvoir l’ouverture des données de la recherche : groupes de travail, déclaration Open access, avec des recommandations pour la citation normalisée des ensembles de données, projet d’attribution de DOI aux données (Datacite), entrepôt international de dépôt (Dryad).

Au total, une journée riche et instructive.

Retrouvez dans les abonnements électroniques de l’UNS les publications de Rodrigo Costas (Springer, Wiley) et celles d’Yves Gingras (Cairn.info, Erudit)

Voir aussi la première partie du compte-rendusur ce blog, et les interventions en vidéo sur le wiki de l’URFIST de Nice

Nouvelles formes de communication et d’évaluation scientifique (1/2)

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jneurfist3Le 25 septembre l’UNS a accueilli la journée des URFIST, consacrée aux nouvelles formes de communication et d’évaluation scientifique (voir le programme en ligne). L’occasion de mettre en perspective les pratiques d’édition et d’évaluation actuelles dans l’environnement numérique, et de faire le point sur des termes souvent cités, mais au contenu encore flou (épi-revues, Altmetrics).

La première intervention était consacrée aux épi-revues. Alain Monteil a présenté la stratégie de l’INRIA. L’institut a fait le choix volontariste de la voie verte de l’Open Access : dépôt obligatoire sur Hal pour les chercheurs, et évaluation basée sur les listes de publication Hal. Une offre Open Access est élaborée, en partenariat avec le CCSD, autour du dépôt dans Hal-INRIA, de Sciencesconf.org pour les conférences, et de la plateforme Episciences (revues). Le Journal of Data Mining & Digital Humanities (trimestriel) est déjà en ligne. D’autres projets concernent IAM- Informatics & applied mathematics,DMTCS- Discrete Maths & Theoretical Computer Science.

Ces épi-revues veulent offrir un nouveau modèle de publication, notamment dans des sciences mal représentées dans l’édition traditionnelle. Elles fournissent un label de qualité en continuité avec les éditeurs classiques (comité éditorial, évaluation par les pairs, archivage à long terme, visibilité et référencement) mais cherchent également à dépasser leurs limites : fournir un accès libre sans embargo dès la soumission de l’article, favoriser les échanges entre scientifiques en intégrant la dimension des réseaux sociaux ; réunir plusieurs objets (images, codes, vidéos…) ; aller vers la transdisciplinarité.

Le rôle de l’édition a été interrogé par plusieurs intervenants.
Pierre Mounier (Cleo) a évoqué les pratiques des blogs et carnets de recherche en SHS. Parfois présentés comme un moyen pour les chercheurs de retrouver une liberté d’écriture, en opposition aux publications, ces carnets recouvrent de fait des réalités plus variées, en hybridation avec l’édition traditionnelle qui conserve son rôle : blogs de chercheurs, veille, communication plus ou moins institutionnelle autour de projets de recherche, accompagnement éditorial (informations, discussions, commentaires). On peut citer en exemple les carnets des revues VertigO ou Terrain. La publication peut d’ailleurs à son tour naître à partir de billets de blogs (collection de livres Open edition press).

David Monniaux a tracé une vision très différente de l’édition en informatique, où le travail de mise en forme est perçu comme à la charge de l’auteur. Son blog n’aborde pas son travail de recherche, pas assez grand public. Il induit un mode d’écriture et des précautions spécifiques.

Les entreprises aussi s’interrogent sur les modèles éditoriaux. Faculty of 1000 a présenté deux de ses produits : F1000Prime (sélection d’articles par des scientifiques) ; F1000Research (publication en libre-accès sur le modèle auteur-payeur).

De façon comparable aux épi-revues, il y a une volonté de mise à disposition de l’article dès l’origine et de visibilité sur le processus d’évaluation (commentaires, versions etc). Mais le coût économique reste classiquement à la charge des établissements utilisateurs et/ou producteurs (respectivement abonnement et paiement par l’auteur).

Tout comme l’édition, l’évaluation évolue et a fait l’objet de plusieurs contributions stimulantes au cours de cette journée. A suivre dans le prochain billet !

486 237… +1

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486 237, c’est le nombre d’articles téléchargés dans l’université pour l’année 2013.
Il y en a sûrement au moins un qui vous intéresse.

Nouvel arrivant ? Voici quelques ficelles pour utiliser la documentation électronique !

Image : US Army, Wikimedia. Domaine public

Image : US Army, Wikimedia. Domaine public

 

Toutes les ressources en ligne auxquelles l’université est abonnée sont signalées sur le portail des bibliothèques.
Vous y trouverez aussi certaines ressources en accès libre sur le web, indiquées par une puce verte puce.
Deux outils à votre disposition :

Vous recherchez un article précis ? Il faut chercher au titre de la revue. Une recherche par thème ? Identifiez les bases de données dans votre discipline pour trouver des articles et documents pertinents (La faq dédiée vous en dira plus).

Quelques pistes de départ

Signpost   Ressources généralistes de premier niveau :

   L’Encyclopedia Universalis

   Les Que sais-je

   Plus complexe mais riche, la base de presse Factiva (voir l’article)

 

Pour une recherche approfondie, les plates-formes des éditeurs et outils spécialisés dans les différentes disciplines.

La page Ressources en ligne propose une entrée par sujet pour repérer les instruments de votre discipline

 

Des tutoriels, signalés par l’icône tuto1 et des supports de cours peuvent vous aider à prendre en main les interfaces.

Vous avez trouvé un document intéressant ? 😀
Pour le consulter, il suffit de cliquer sur le lien… ou presque !
Car pour accéder aux ressources en ligne à distance, vous devrez vous identifier avec un Sésame (pour les étudiants) ou un login de messagerie (pour les enseignants et chercheurs)

Si ce n’est pas déjà fait, demandez votre identifiant sur l’ENT de l’université

Un problème ou une question ? Nous sommes là pour vous dépanner. Utilisez le formulaire Interroger un bibliothécaire, ou écrivez à docelec@unice.fr

Wanted ! Votre avis sur Springer…

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springer2Le contrat Springer arrive à échéance fin 2014.
Le consortium Couperin, pour se donner le temps de négocier une évolution du modèle économique, a proposé une reconduction transitoire du contrat en 2015.
Nous souhaitons évaluer avec vous la pertinence et l’intérêt de ces revues.
Si vous êtes enseignant, chercheur ou doctorant, nous vous remercions de bien vouloir consacrer quelques instants à répondre à  un questionnaire en ligne d’ici le 17 juin 2014.

enquete

Springer est un éditeur important notamment en STM. En 2013, le nombre total d’articles déchargés sur cette plateforme était de 24 520,  pour un coût à l’article de 3,17 €. Pour cette ressource, les disciplines les plus consultées à l’UNS sont médecine et sciences de la vie (entre 20 et 23% chacune), puis chimie et mathématiques (9 à 10% chacune), physique et ingénierie (7 à 8% chacune). L’ensemble des sciences humaines représente moins de 10% des consultations.

Nouveau ! Archives IOP et OUP !

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Image Tomas Laurinavicius

Image Tomas Laurinavicius

Grâce à deux nouvelles licences nationales, 372 revues sont à portée de clic pour tous les établissements d’enseignement et de recherche.

 

  • 108 titres de l’Institute Of Physics (IOP) – éditeur spécialisé en physique – depuis l’origine jusqu’en 2012.
  • 264 titres des éditions multidisciplinaires Oxford University Press – depuis l’origine jusqu’en 2010.

 

L’accès à ces ressources est ouvert pour l’UNS, sur place et à distance. Il vient compléter les abonnements de l’université : années en cours pour l’IOP, et depuis 2010 pour un bouquet de revues médicales OUP.
Vous pouvez dès maintenant vous connecter à partir de la page des ressources de notre portail. L’accès par titre dans l’outil de recherche des bibliothèques sera prochainement disponible.

Plus d’informations sur le site Licencesnationales.fr

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