A savoir

Optimisez votre navigateur web pour les études universitaires

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Malloreigh (flickr) cc-by-nc

Malloreigh (flickr) cc-by-nc

Que vous soyez utilisateur de Chrome ou de Firefox, vous connaissez sans doute les « plugins », ces petits programmes additionnels qui vous permettent de customiser votre navigateur en fonction de vos habitudes de travail. En voici quelques-uns qui pourraient vous être bien utiles dans votre cursus universitaire :

Text Marker

Le stabilo© en ligne ! Vous permet de surligner certains passages d’un article au fur et à mesure de votre lecture, puis de coller si vous le souhaitez les extraits ainsi choisis dans un nouveau document, avec la source automatiquement mentionnée à la fin.

A télécharger ici.

 

CNRTL

Vous recherchez souvent des synonymes à un mot ? Parfois des doutes sur l’orthographe ou le sens précis d’un terme ? Le CNRTL (Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales) propose un outil permettant d’ajouter à la barre de recherche de firefox un accès direct à leur base.

A télécharger ici.

 

Readability

Lire un article sans images, sans publicités, en choisissant la taille de la police et des marges, le tout sur un fond blanc comme une page de livre : Readability vous permet de lire des textes longs à l’écran en tout confort. Une fonctionnalité permet aussi de mettre de côté un article pour le lire plus tard.

A télécharger ici.

 

Strict Pomodoro (Chrome uniquement)

La technique Pomodoro consiste à travailler durant des sessions de 25 minutes suivies de courtes pauses. Ce plugin permet aussi de sélectionner les sites Internet que vous voulez bloquer temporairement, si vous avez du mal à vous retenir d’aller consulter vos dernières notifications Facebook ou les derniers articles de L’Equipe pendant votre session de travail…

A télécharger ici.

 

Zotero

L’incontournable outil du doctorant ! Le logiciel existe en version « standalone », mais révèle toute son efficacité en version plugin, vous permettant d’ajouter un article à votre bibliographie à tout moment, et d’y accéder en nomade depuis plusieurs postes. Le « must have » du thésard.

A télécharger ici.

 

LibX : Bu nice et Sudoc

Ce petit plugin ajoute la recherche dans les collections de la BU de Nice (ou dans le SUDOC) dans le « menu contextuel » de votre navigateur : en d’autres termes, sur n’importe quelle page web, il vous suffit de faire un clic droit sur un nom d’auteur ou un titre d’ouvrage pour lancer une recherche dans le catalogue de la bibliothèque universitaire de Nice ou des bibliothèques universitaires françaises.

 

Articles en un clic

Les étudiants en master et doctorats le savent bien : accéder aux bases d’articles scientifiques auxquelles la BU est abonnée relève parfois du parcours du combattant. Ce plugin miraculeux vous simplifie la vie en vous permettant de basculer en un clic droit d’un site en accès libre et gratuit comme PubMed ou Google Scholar à la page de la BU en vous ré-identifiant automatiquement. Plus d’explications ici.

Pour télécharger le plugin : Chrome ou Firefox.

Et vous, quels sont vos plugins préférés ?

 

Optimiser son navigateur

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Un nouveau musée à Nice consacré entièrement au sport !

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Le Musée national du sport a ouvert ses portes le 27 juin 2014 à Nice, dans la même structure que le nouveau temple du football niçois Allianz Riviera.

Musée du sport de Nice

Musée du sport de Nice

Si son ouverture sur la Côte d’Azur est récente, le projet de la création d’un établissement consacré au sport date de 1963. Le but est de collecter et d’acquérir objets et œuvres d’art retraçant l’histoire du sport. Ainsi, les différentes disciplines sportives sont représentées au travers d’objets, d’archives et de souvenirs émanants de grands champions, mais aussi des fédérations et des entreprises liées au sport.

En 1979, le musée s’installe au sein du Parc des Princes à Paris, mais l’ouverture au public ne se fait réellement qu’en 1988. Le musée est fermé en 1998 en raison de la Coupe du Monde de football. Dix ans plus tard, il rouvre ses portes dans le XIIIe arrondissement de Paris. En 2014, il obtient le label « musée de France » et s’installe finalement à Nice.

Qu’y trouve-t-on ?

45 000 objets et 400 000 documents sont les chiffres impressionnants et pourtant réels de la collection se trouvant au sein du musée.

La collection s’organise selon 4 défis : le défi sur soi (athlétisme, ski…), le défi d’Homme à Homme (boxe, arts martiaux, tennis…), le défi collectif (football, rugby…) et le défi au-delà des limites (sport automobile, plongée, navigation…). Tous les objets ne sont pas exposés, mais ceux présentés sont chargés de sens et d’histoire. Quelques trésors sont à découvrir absolument comme une belle collection des torches olympiques, les trophées des plus grandes compétitions, ou des objets mythiques de sportifs (short et gant de Marcel Cerdan, la raquette victorieuse de Noah à Roland Garros, le kimono de David Douillet…).

Gants et shorts de Marcel Cerdan

Gants et shorts de Marcel Cerdan

De plus, le lieu est aussi un centre documentaire exceptionnel sur le sport. Le C2RDS (Centre de Recherche et de Ressources du sport) propose des collections riches pour les chercheurs, étudiants et toutes personnes intéressées par le sport. Elle conserve toute la documentation passée, présente et à venir. Si vous voulez la découvrir avant de vous y présentez, le musée propose un portail documentaire riche. Sur le site Internet, Claude Boli, directeur du département Recherche et Collections du musée, propose des « prolongations » avec de la documentation et des sites ressources pour des informations sportives.

Enfin, des expositions temporaires et virtuelles viennent compléter l’offre du musée. L’exposition virtuelle nous plonge dans l’histoire du tour de France et du ring. Mais nous vous invitons à aller voir sur place ce magnifique lieu ultra moderne ainsi que l’exposition des Victoire ! sportives, politiques et sociales.

Prochainement la BU de l’UFR STAPS, qui se trouve à deux pas du site, proposera des partenariats avec le musée et son centre de documentation.

 Alors, à très bientôt !

DSM-V : Vol au dessus d’un nid de questions

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Référencer et classifier les troubles mentaux et organiser un langage unique pour l’ensemble des professionnels de la santé mentale, tel est l’objectif du DSM (Diagnostic and Statistical Manuel of Mental Disorders), le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, élaboré par la Société Américaine de Psychiatrie (APA).

La dernière version (la cinquième) de cette « bible » de la psychiatrie fait l’objet de nombreux débats et critiques, et tout particulièrement l’emprise des laboratoires pharmaceutiques sur les spécialistes chargés de sa rédaction, et l’élaboration de classifications arbitraires et sans fondement scientifique des « maladies ».

dsmill

Deux aspects du DSM-V sont notamment à retenir :

  • Nouvelles maladies : de nouveaux troubles mentaux font leur apparition dans cette cinquième version du DSM. Depuis la tristesse extrême après un décès jusqu’au grattage de la peau du visage (dermatillomanie), tout semble motif à diagnostiquer (et soigner…) des dispositions assez naturelles en somme.
  • Cotation des symptômes : la version antérieure du manuel (DSM-IV) catégorisait les symptômes en 5 axes (Axe 1 : troubles cliniques – anxiété – …, Axe 2 : troubles de la personnalité, etc…). La nouvelle version propose de les coter sur une échelle de sévérité. Les détracteurs dénoncent alors une ouverture vers de nouveaux marchés car, à chaque palier de l’échelle, le DSM-V fait correspondre un médicament.

Alors, faut-il se passer du DSM-V ? Difficile… Pourtant, il faut savoir que des alternatives existent, avec d’autres critères :

– Classification du Pr. Misès : Classification française des troubles mentaux de l’enfant et de l’adolescent – R-2012 (CFTMEA). 5e édition. EHESP, 2012

– Le P.D.M. américain : The Interdisciplinary Council on Development and Learning (ICDL), 2006

– L’ Operationalized Psychodynamic Diagnosis (OPD-2) allemande (Hogrefe & Huber Publishers, 2008).

 

Une navette très spéciale

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Envie d’un livre qui se trouve dans une autre BU de Nice ? Savez-vous qu’il existe un service de navette InterBU entre les bibliothèques de l’Université de Nice ?

Utiliser ce service est très simple : après avoir repéré le livre qui vous intéresse grâce à notre outil de recherche en ligne, connectez-vous à votre compte lecteur (onglet « Mon compte ») et utilisez l’option « Réservation » pour choisir dans quelle BU vous souhaitez retirer le document.

Dès que votre document est disponible dans la bibliothèque choisie pour le retrait (en 48 heures environ), vous êtes averti.e par mail sur votre messagerie étudiante. Vous disposez alors de 3 jours pour venir le retirer.

De même, vous pouvez également rendre un livre dans une autre BU si cela vous arrange. Exemple : un livre emprunté à la BU Saintt Jean d’Angely peut être rendu à la BU Sciences à Valrose.

ATTENTION : ce service n’inclut pas la bibliothèque de l’IUT. Par ailleurs, le délai de mise à disposition peut être un peu plus long pour la BU STAPS où la navette ne passe que 2 fois pas semaine.

 

Pilot Major Cecil Powell and the X-24A on Lakebed

Vous avez un message (SESAME)

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Pour communiquer avec vous, l’Université et ses différentes composantes (dont la BU !) mettent à votre disposition plusieurs outils numériques parmi lesquels une messagerie étudiante.

La BU vous envoie par exemple des messages pour vous alerter avant que vos prêts n’arrivent à échéance (et vous éviter ainsi des pénalités), ou vous prévenir que des ouvrages que vous avez demandé par la navette sont à votre disposition, etc.

Cette messagerie fait partie de l’ENT (Environnement Numérique de Travail) pour lequel vous devez créer un compte Sésame.

Pour cela, rien de plus simple : rendez-vous sur le site internet de la BU : http://bibliotheque.unice.fr/ et cliquez sur « ENT » dans l’angle supérieur droit.

ouvrir

Vous êtes alors redirigé sur le portail de l’ENT.

Choisissez l’onglet « Gestion des identités numériques », puis le bouton « ouvrir mon sésame »

gestion

… Et vous voilà arrivé à la dernière étape : renseigner votre n° d’étudiant et votre n° id nat (ils sont sur votre carte d’étudiant) !

Vous avez alors accès à tous les outils que l’Université met à votre disposition, dont une messagerie du type @etu.unice.fr (rubrique « BV » de l’ENT, puis « Messages »).

ASTUCE : Si vous désirez faire basculer automatiquement vos mails sur votre messagerie habituelle, allez dans « Préférences », et entrez votre adresse usuelle. Attention cependant : certains messages risquent de vous parvenir dans le dossier « Spam » ou « Indésirables » (Hotmail).

bv

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Bientôt l’été : à vos livres !

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Enokson (Flick, CC-BY)

Enokson (Flick, CC-BY)

Bientôt les vacances… Enfin du temps libre ! C’est le moment de préparer vos lectures d’été. Saviez-vous que vos BU vous proposent un large choix de romans et BD à emprunter ?

Par exemple, c’est le moment ou jamais de vous « mettre à jour » sur les derniers prix littéraires avant la nouvelle saison : Au revoir là-haut de Pierre Lemaitre (Prix Goncourt), La saison de l’ombre de Léonora Miano (Prix Femina), Il faut beaucoup aimer les hommes de Marie Darrieussecq (Prix Médicis)… Ou pour choisir un roman policier, de science-fiction, une lecture divertissante

La bande dessinée aussi a ses prix : Mauvais genre de Chloé Cruchaudet (Prix du public d’Angoulême), Tyler Cross de Fabien Nury (Prix BD Fnac).
Venez découvrir nos BD : il y en a pour toutes les envies (aventure, roman graphique, manga, etc).

Pour vous accompagner pendant vos vacances, pensez aussi à nos guides touristiques. Vous trouverez votre bonheur que vous alliez en Hongrie, au Portugal ou même au Brésil (au hasard…).
Et, plus localement, des guides Provence et Côte d’Azur pour profiter à fond de notre belle région ! Pensez aux balades et randonnées en famille sur le littoral ou dans le Mercantour.

De plus nous mettons prochainement en place le « prêt d’été », avec un allongement de la durée de prêt : vous pourrez conserver tous les livres empruntés jusqu’à la rentrée en septembre. Venez faire votre « shopping lecture » pour l’été !

David contre Goliath : comment protéger son identité et ses données numériques ?

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Révolutionnaire pour certains, le data mining, ou l’exploration automatisée des données, représente une avancée technologique considérable qui profite aussi bien à la recherche qu’à la société civile, mais pas seulement. Pour l’heure, ce processus n’est encadré par aucun statut légal, et de l’achat sur un site à vos discussions sur les réseaux sociaux, toutes vos actions sont surveillées et collectées sur Internet.

Nos données sont devenues une ressource qui sera bientôt plus importante que le pétrole.

e-reputation

Le data mining arrive à déterminer vos goûts, vos opinions politiques, vos croyances religieuses, votre vie sentimentale, votre CSP et même vos désirs ! En effet, les sociétés marchandes se servent de nos traces sur le web pour nous profiler à des fin marketing, voire pour produire des séries télévisées spécialement conçues pour répondre aux attentes des spectateurs (comme dans le cas de House of Cards, la série produite par Netflix). Il y a deux ans, l’affaire « Target » avait fait grand bruit aux États-Unis. Cette société arrivait à prévoir les grossesses de ses clientes, et donc à leur proposer des produits adaptés, avant même que ces dernières ne soient enceintes ou que la grossesse ne soit officiellement annoncée. Effrayant, n’est-ce pas ?

Si Google en sait plus que l’Insee sur la France, ce n’est pas une fatalité et nous pouvons apprendre à protéger nos données, et cela sans verser dans la paranoïa.

1)      En activant le mode navigation « in private » vous empêchez simplement les autres utilisateurs de l’ordinateur d’accéder à votre historique de recherche. Pour surfer de manière anonyme vous pouvez utiliser Tor

2)      La plupart des moteurs de recherche collectent des informations sur leurs utilisateurs (mots clefs, adresse IP). Il existe des moteurs de recherche confidentiels qui ne collectent pas ces données :

3)      Il est possible de se prémunir contre ce profilage en utilisant des modules bloquant les mouchards:

4)      Si beaucoup de sites Web supportent la sécurisation des connexions, essentielle pour votre sécurité et votre vie privée, un certain nombre d’acteurs ne l’activent pas par défaut. Pour activer cette sécurisation partout où elle est possible, vous pouvez utiliser HTTPS Everywhere.

5)      privilégiez les adresses e-mail jetables lorsque vous laissez votre adresse mail sur un site.

6)      Ne divulguez pas trop d’informations personnelles sur Internet. Il revient à chacun d’être vigilant sur ce point. Assurez-vous de contrôler votre e-réputation en faisant un état des lieux de votre présence sur le web. Valorisez votre image en devenant actif : créer un CV en ligne, paramétrer la confidentialité de vos réseaux sociaux…

 

Pour plus d’informations vous pouvez consulter le site de la CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés). Cette institution indépendante est chargée de veiller au respect de l’identité humaine, de la vie privée et des libertés numériques.

Enfin, n’hésitez-pas à consulter le livre électronique Développer votre identité numérique de C. Blazquez et S. Zamoum.

 

La science participative

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Aldo Cavini Benedetti (Flickr, CC-BY-NC-SA)

Aldo Cavini Benedetti (Flickr, CC-BY-NC-SA)

Basée sur la participation volontaire et bénévole de citoyens lambda ou de spécialistes, les projets de science participative invitent chacun à contribuer à la collecte de données sur un sujet d’étude choisi.

Ces programmes permettent de réaliser à moindre coût de vastes enquêtes, sur des zones géographiques importantes, ou sur une longue période. Leur développement a été rendu possible notamment par la large diffusion des technologies permettant le travail collaboratif, le partage des « outils » et des données.

En plus de la satisfaction de faire progresser le savoir, les participants y « gagnent » souvent un accès privilégié aux résultats obtenus.

Une multitude de projets existent, en France comme à l’international. On peut citer à titre d’exemples :

Vigie-Nature : réseau du Muséum national d’Histoire naturelle qui met en place des « observatoires de la nature ordinaire ». Par exemple à travers les programme Sauvages de ma rue (sur la flore urbaine), SPIPOLL (Suivi photographique des insectes pollinisateurs), STOC (Suivi Temporel des Oiseaux Communs), etc.

Tela Botanica : ce site fédère les botanistes francophones. Le réseau participe à de nombreux programmes et ses résultats sont disponibles en ligne.

– L’Observatoire naturaliste des écosystèmes méditerranéens (ONEM) est un réseau de bénévoles qui réalise des enquêtes naturalistes sur le territoire méditerranéen français.

– Le Bureau central sismologique français (BCSF) collecte témoignages et données sur les séismes à l’aide d’un questionnaire en ligne. Apportez votre témoignage sur le séisme du 7 avril à Barcelonnette !

CultureWok, le moteur de recherche sensitive

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culturewok

Qu’avez-vous envie de lire, écouter, regarder aujourd’hui ?

Tout d’abord un wok c’est quoi ? Il s’agit d’un ustensile de cuisine asiatique permettant de cuire tous les aliments en même temps. Vous avez déjà l’eau à la bouche ? CultureWok vous propose de réaliser votre propre cuisine culturelle.

Ce moteur de recherche créé en 2010 par une équipe d’origine universitaire se base sur vos goûts et envies du moment pour vous proposer un large éventail de livres, films, musique ou jeux. C’est « un nouvel outil de recherche en ligne reposant sur un principe d’indexation intersubjective et collaborative qui prend en compte les choix psychiques de ses utilisateurs à partir de critères sensitifs ».

Ça c’est pour la définition. Le mieux c’est encore de le tester. Son utilisation est très simple. Vous devez d’abord sélectionner l’objet que vous souhaitez rechercher (musique, film, jeux ou livre) puis déplacer les curseurs pour indiquer les genres (policier, science-fiction, histoire …) et ambiances (drôle, intimiste, onirique…)

Ludique, amusant et pertinent, CultureWok a trouvé la bonne recette pour rendre la recherche algorithmique intelligente et sensible.

Développement durable : 1 semaine pour s’informer et agir.

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logo Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergieLa Semaine du développement durable aura lieu du 1er au 7 avril 2014. Des évènements et animations sont prévus dans toute la France (programme ici pour la région PACA).

Les thématiques vont des moyens de déplacements « doux » aux constructions écologiques, en passant par le recyclage et les modes de consommation locaux.

L’Université Nice Sophia-Antipolis participe, notamment avec l’opération « Nettoie ton campus » organisée le jeudi 3 avril sur le campus Carlone par l’Association des étudiants internationaux (ESN Nice).

Au-delà de cette semaine d’actions et d’informations, la BU Sciences vous propose près de 700 documents sur tous supports autour des thématiques de l’écologie et du développement durable. Vous les trouverez en rayon, principalement sous la cote 577, mais aussi en 333.95 pour l’aspect économique du sujet, ou encore en 690 sur les modes de construction performants.

Par exemple, vous pourrez ainsi voir ou revoir le célèbre film documentaire Gasland sur l’extraction du gaz de schiste, suivre les résultats de l’expédition Tara Océans, ou tout simplement emprunter les livres et manuels de spécialistes comme le Professeur François Ramade.  Des essais comme ceux  de Jared Diamond peuvent offrir une perspective complémentaire

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