Aldo Cavini Benedetti (Flickr, CC-BY-NC-SA)

Aldo Cavini Benedetti (Flickr, CC-BY-NC-SA)

Basée sur la participation volontaire et bénévole de citoyens lambda ou de spécialistes, les projets de science participative invitent chacun à contribuer à la collecte de données sur un sujet d’étude choisi.

Ces programmes permettent de réaliser à moindre coût de vastes enquêtes, sur des zones géographiques importantes, ou sur une longue période. Leur développement a été rendu possible notamment par la large diffusion des technologies permettant le travail collaboratif, le partage des « outils » et des données.

En plus de la satisfaction de faire progresser le savoir, les participants y « gagnent » souvent un accès privilégié aux résultats obtenus.

Une multitude de projets existent, en France comme à l’international. On peut citer à titre d’exemples :

Vigie-Nature : réseau du Muséum national d’Histoire naturelle qui met en place des « observatoires de la nature ordinaire ». Par exemple à travers les programme Sauvages de ma rue (sur la flore urbaine), SPIPOLL (Suivi photographique des insectes pollinisateurs), STOC (Suivi Temporel des Oiseaux Communs), etc.

Tela Botanica : ce site fédère les botanistes francophones. Le réseau participe à de nombreux programmes et ses résultats sont disponibles en ligne.

– L’Observatoire naturaliste des écosystèmes méditerranéens (ONEM) est un réseau de bénévoles qui réalise des enquêtes naturalistes sur le territoire méditerranéen français.

– Le Bureau central sismologique français (BCSF) collecte témoignages et données sur les séismes à l’aide d’un questionnaire en ligne. Apportez votre témoignage sur le séisme du 7 avril à Barcelonnette !